Liens

LIENS À DES ASSOCIATIONS FRANCOPHONES DE CRIMINOLOGIE

L’ACJP est un organisme national volontaire voué à l’amélioration du système de justice pénale au Canada. Au moyen de conférences, de colloques, de congrès, de publications et de séances d’information, elle offre au grand public, intéressé au système de justice pénale, de l’information nuancée sur le sujet. Elle favorise le changement et l’amélioration de la justice, de l’équité et de la protection des droits.

Association Française de criminologie

L’AFC compte plus de 500 membres, tels des chercheurs, des professeurs, des professionnels de plusieurs disciplines et toute autre personne dont les activités sont en lien avec le phénomène criminel. Tous les deux ans, elle remet le prix Gabriel Tarde qui encourage la recherche et l’enseignement de toutes les disciplines qui contribuent au développement de la criminologie. La bourse Philippe Zoummeroff est accordée aux projets concernant la question de la réinsertion des détenus et des modalités de la détention.

Association Internationale de Droit Pénal

L’AIDP compte plus de 3000 membres, 50 groupes nationaux constitués et une section « Jeunes Pénalistes ». Cette organisation non gouvernementale est dotée du Statut Consultatif auprès des Nations Unies et du Conseil de l’Europe. Ses principes reposent sur ceux établis par la Charte des Nations Unies et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Elle est parmi l’une des plus anciennes organisations mondiales regroupant des spécialistes en justice pénale, fondée en 1924. On peut lire ses publications entre autres dans la Revue Internationale de Droit Pénal, deux fois par an, dans Les Nouvelles Études Pénales et dans Les Actes des Congrès Internationaux.

Association Québécoise Plaidoyer-Victimes

L’AQPV contribue à l’amélioration de la situation des victimes d’actes criminels en promouvant leurs droits et leurs intérêts. Elle compte quatre types de membres, soit les membres individuels, les délégués par des organismes communautaires, les délégués par des organismes gouvernementaux ou privés et les amis. Elle agit comme porte parole des victimes, elle sensibilise la population à leur cause et elle accompagne et réfère les victimes à différentes ressources. Elle organise des activités d’information, de formation, de mémoires et de consultation.

Association des Services de Réhabilitation Sociale du Québec

À titre d’organisme communautaire dans le domaine de la justice pénale, elle se consacre à la réinsertion sociale des contrevenants. Afin d’accomplir sa mission, elle organise plusieurs activités, entre autres des colloques et des congrès. Elle offre aussi de la formation dans le but d’assurer une intervention de qualité auprès de la clientèle contrevenante. Les programmes de formation son ouverts aux intervenants, aux gestionnaires et aux bénévoles qui oeuvrent dans le milieu communautaire. L’adhésion à cette association est réservée aux organismes communautaires.

Groupe Européen de Recherche sur les Normativités

Le GERN consiste en un réseau scientifique européen, étendu sur dix pays, réunissant une quarantaine de centres et de chercheurs multidisciplinaires qui travaillent sur les normes et les déviances. Il s’intéresse principalement à la sociologie, à l’histoire, aux sciences politiques, au droit et à la criminologie, mais aussi à l’anthropologie, à l’ethnologie, à la démographie et à l’économie. Le GERN est composé d’équipes intra et extra européennes, de membres individuels, sans oublier les partenaires et les jeunes chercheurs.

Groupe de Recherche sur la Sécurité et la Gouvernance

Ce groupe de recherches de l’Université de Toulouse Capitole (France) constitue une structure fédérative comprenant trois composantes et trois axes de recherche : les relations et sécurité internationales avec le Centre Morris Janowitz (CMJ), la sécurité, police et société avec le Centre d’Études et de Recherches sur la Police (CERP), et le droit pénal international et analyse des conflits avec le Centre de Droit Pénal International et d’Analyse des Conflits (CDPIAC). La politique scientifique du GRSG s’articule autour du thème de la sécurité et sa gouvernance, avec une focalisation sur le registre des risques et de la conflictualité intra- et inter-sociétaux, de leur appréhension et leur management.

Groupe Suisse de Criminologie

Le GSC a été fondé comme association en 1972. Il compte aujourd’hui environ 450 membres, issus aussi bien des milieux de l’enseignement et de la recherche que de la pratique criminologique au sens large (police, justice, exécution des sanctions, prévention, sécurité, etc.). Depuis 1974, le GSC organise chaque année son congrès, au mois de mars à Interlaken (au pied de la Jungfrau !), sur un thème d’actualité. De 1975 à 2001, le GSC a édité le Bulletin de criminologie. Depuis 2002, le Bulletin a été remplacé par la Revue Suisse de Criminologie (www.szk.recht.ch). Le GSC dirige également la collection ‘Criminologie’ dans laquelle paraissent chaque année les contributions définitives présentées lors du congrès annuel.

Le Journal International de Victimologie

Cette revue, puisqu’elle est électronique et gratuite, permet aux personnes actives dans le secteur de l’aide aux victimes d’avoir accès facilement à de l’information sur la recherche dans plusieurs domaines. Elle publie des articles trimestriels sur la psychanalyse, la psychiatrie, la psychologie, le droit, la médecine, la sociologie, la neurobiologie, etc. Elle présente aussi les récits de psychologues, juristes, médiateurs et autres concernant leurs expériences auprès de l’aide aux victimes. Consultez le site pour en connaître davantage sur les dates et les sujets des prochains colloques, congrès, conférence, etc.

Revue de Criminologie, Victimologie et Sécurité

Cette revue accueillant des publications en trois langues (italien, français et anglais) est l’organe officiel de la Société Italienne de Victimologie. Elle vise à réfléchir sur des thèmes tels la criminalité, ses victimes, et sur les problèmes liés à la sécurité. Dans ce sens, la RCVS peut aussi accueillir des contributions qui abordent les aspects théoriques de la victimologie, sans oublier l’importance, pour ceux qui aident les victimes, de savoir tisser des liens et de lire la réalité de façon critique et innovante.

Société de Criminologie du Québec

La SQC regroupe des intervenants, des chercheurs, des bénévoles et des administrateurs intéressés par l’avancement de la justice pénale. Elle agit sur les plans de la science, de la formation et du perfectionnement de la pratique professionnelle, de l’action communautaire et de l’avancement de la justice pénale. Ses actions se traduisent pas des congrès, des publications, des animations communautaires, des stages pour les étudiants, etc. Quelle que soit leur formation, adultes et juvéniles démontrant de l’intérêt pour la promotion de la justice pénale peuvent se joindre à titre de membres à la SQC.

Société Internationale de Criminologie

La SIC est une organisation non gouvernementale dotée du statut consultatif auprès de l’ONU et du Conseil de l’Europe. Elle est représentée par un délégué national dans plus de 50 États. Son siège social est situé à Paris. Elle contribue à développer des relations internationales, à promouvoir la recherche scientifique et à favoriser la communication entre ses membres. Ses publications sont disponibles en français, en anglais et en espagnol. Elle favorise aussi la prévention de la criminalité et l’amélioration des divers systèmes de justice pénale.

Société de Médecine Légale et de Criminologie de France

Cette société s’intéresse à plusieurs domaines, tels l’anthropologie et la radiologie médico-légale, la criminologie et la psychiatrie médico-légale, le droit médical et l’éthique, l’entomologie médico-légale et la toxicologie médico-légale. Les candidatures pour adhérer à la société doivent être accompagnées d’une lettre de motivation, d’un curriculum vitae et d’un parrainage de deux membres titulaires de la société.

Si une association ou un groupe, s’intéressant particulièrement au domaine de la criminologie, ne se retrouve pas parmi notre liste, n’hésitez pas à nous en faire part.